Handel : Son qual stanco Pelegrino, chant et orchestre
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Handel : Son qual stanco Pelegrino, chant et orchestre

165,00 €
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Aria pour contralto : Son qual stanco Pelegrino
Extrait de l'opéra Arianna in creta (Handel), Acte 2, scène 12 - Alceste

Cet aria a été enregistré par Nathalie Stutzmann et l'ensemble Orfeo 55, sur le CD "Héros de l'ombre" (2014), sur des partitions Buissonnières !

Matériel d'orchestre (musical score) -  Format 22 x 31,5 cm
Conducteur et parties séparées (violon I, violon II, alto, basses - 44322).
Délai de 7 à 10 jours pour le matériel d'orchestre.

Cet aria est disponible, sur demande, en réduction clavier (15 à 20€) : contactez-nous !

L’opéra Arianna in Creta fut créé au Théâtre Royal Haymarket de Londres en janvier 1734, sur une adaptatin du livre de Parati, Arianna in Nasso, écrit pour Nicola Porpora, et joué avec succès en 1733 par la troupe concurrente.
Le rôle d’Alceste était tenu par Carlos Scalzi, soprano castrato, aux côtés d’un célèbre castrat, Carestini, largement acclamé. L’opéra fut joué 17 fois, puis repris à Covent Garden en novembre de la même année, le rôle d’Alceste étant ré-écrit pour ténor. Arianna in Creta  fut également repris à Brunswick en 1737 et 1738. 

Le livret, inspiré des Métamorphoses d’Ovide, décrit la célèbre histoire d’Ariane, fille de Minos roi de Crète, et séduite par Thésée, fils d’Egée, roi d’Athènes, venu affronter le Minotaure. Arianne l’aide à sortir du labyrinthe en lui offrant une pelote de fil qu’il déroule dès l’entrée et dont il se sert pour s’échapper après avoir tué le monstre.
Chaque année, 7 jeunes filles et 7 jeunes hommes doivent nourrir le monstre mi-homme mi-taureau. Alceste est épris de Carilda, jouvencelle devant être offerte au Minotaure, elle-même éprise de Thésée. En fin d’acte 2, Alceste convainc Carilda de fuir avec lui pour échapper au sacrifice.

Son qual stanco pellegrino
che nel dubbio suo cammino
muove incerto,
errando il piè.

Ma se poi si fa suo scorta,
face, o stella,
si conforta
e smarrito più non è.

Je suis tel ce pellerin fatigué
qui doute sur son chemin,
se déplace,
errant d’un pas incertain.

Mais s’ilobtient sone scorte,
visage ou étoile,
il en est réconforté,
et il n’est plus égarré.

Ce magnifique aria a été enregistré par Nathalie Stutzmann et l’ensemble Orfeo55 dans un album consacré aux seconds rôles dans les opéras de Händel, «Les Héros de l’ombre» (Erato, 2014).


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