Vivaldi : Ah che non posso (La fida ninfa), chant et orchestre
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Vivaldi : Ah che non posso (La fida ninfa), chant et orchestre

130,00 €
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Aria pour mezzo ou contre-ténor :  Ah che non posso, no, lasciar d'amare
Extrait de l'opéra La fida ninfa, Acte II, scène 2, Osmino (Vivaldi).

Matériel d'orchestre (musical score) -  Format 22 x 31,5 cm
Conducteur, conducteur continuo, 
et parties séparées (violon I, violon II, alto, basses - 44322).
Délai de 7 à 10 jours pour le matériel d'orchestre.

Cet aria est également disponible en réduction clavier (15 à 20€) : contactez-nous !

L’action se déroule sur l’île Naxos. Oralto, pirate et Seigneur de l’île, a enlevé des années auparavant deux frères, Osmino et Tircis, originaires de l’île de Scyros. Les deux frères, enlevés dans leur jeune âge, ignorent leur parenté. Osmino, rebaptisé Morasto, sert Oralto comme lieutenant, alors que son frère Tircis, rebaptisé Osmino, mène une vie de libertin. Au lever de rideau, Oralto revient d’une expédition sur l’île de Scyros, d’où il ramène de nouveaux captifs : le berger Narete et ses deux filles, Licori et Elpina. Licori était autrefois fiancée à Osmino (Morasto) et lui est toujours restée fidèle.

Licori, ne reconnaissant pas en Morasto son fiancé, lui confie que son cœur reste fidèle à son amant disparu. Dans le bois, Narete a fait une découverte surprenante : il a trouvé, gravés dans les arbres du voisinage, les noms de Scyros, Osmino et Licori entrelacés. Persuadée d’avoir élucidé le mystère des inscriptions gravées dans les arbres, Elpina croit reconnaître en Osmino l’amant perdu de sa sœur, et part annoncer cette nouvelle aux siens. Resté seul, Osmino chante son amour pour la belle nymphe Licori.

Ah che non posso, nò, lasciar d’amare
Quel dolce foco, che’l cor m’accende.
Son troppo belle, son troppo care
L’accese luci del mio bel Sole,
E sento trarmi
Dov’egli vuole da certa forza,
Che non s’intende.

Ah, je ne puis cesser d’aimer,
Ce doux feu qui allume mon cœur.
Ils sont trop beaux, ils me sont trop chers,
Les rayons ardents de mon beau Soleil,
Et je me sens transporté
Où me pousse une certaine force,
Qu’on ne connaît pas.

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